Gardes pour l’épée à deux mains



Gardes pour l’épée à 2 mains

La Couronne

La garde de la couronne est appelée moyenne par certains auteurs. D’autres l’appellent : «la garde affrontée, car le combattant présente son front».

De toutes les gardes, elle est la plus naturelle et la moins fatigante. Elle permet la récupération après une passe d’armes longue.
Elle défend contre les coups de taille la figure senestre et le ventre ; par contre, elle ouvre le côté dextre et constitue une invite pour les cibles à dextre : la figure, le flanc, le bras et la jambe avant.
 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied droit est placé devant et dirigé vers l’adversaire. 
Le pied gauche est pratiquement 
perpendiculaire au pied droit.
Les bras sont fléchis de façon à ce que la main droite en supination soit au dessus de la ceinture et que la main gauche en pronation soit au dessous.
Vue de face, la pointe de l’arme sera légèrement en dedans. La lame est en diagonale.
Le défaut à éviter serait d’avoir la pointe de l’arme «dehors».
 
 
 
 
 

La Courte

La garde courte est parfois appelée «la garde adossée» car le dos est présenté à l’adversaire ou encore garde fermée.

Elle défend la figure dextre et le flanc. A l’inverse de la garde de la Couronne, elle laisse dégagé le côté senestre : figure senestre, vente et jambe avant.
 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est placé devant et dirigé vers l’adversaire. Le pied droit lui est perpendiculaire au pied gauche.
Les bras sont fléchis de façon à ce que la main droite en pronation soit au dessus de la ceinture et que la main gauche en supination soit au dessous. 
Du 
fait de la pronation de la droite, cette garde n’est pas ressentie comme naturelle.
La lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire. Vue de face, la pointe de l’arme sera légèrement en dedans. La lame sera en diagonale. La pointe est sensiblement à la hauteur des yeux .
Le défaut à éviter serait d’avoir la pointe de l’arme «dehors».

 

La Dent du sanglier

La garde du sanglier protège la jambe avant à senestre et laisse libre la jambe avant à dextre et les cibles hautes qui seront défendues par des actions d’interception appelées «Coup d’interception».

 
Pour un droitier, cette garde se prend de la façon suivante :
Le pied droit est devant et dirigé vers l’adversaire. 
Le pied gauche se place 
pratiquement à angle droit par rapport au pied droit.
La main droite est en supination et se place sous la ceinture. La main gauche est en pronation et se trouve au niveau de la ceinture.
La lame est dirigée vers le sol, elle peut le toucher éventuellement ce qui facilite la récupération.

 
 
 
 
 

La Herse du Nyras


La garde de la Herse du Nyras défend la jambe avant à 
dextre. Elle provoque des attaques adverses dirigées, soit vers les parties supérieures du corps, soit vers la jambe avant à senestre.
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est en avant et dirigé vers l’adversaire. 
Le pied droit est pratiquement 
perpendiculaire au pied gauche.
Cependant, la jambe droite reste légèrement en extension.
La main droite en pronation est au dessous de la ceinture et la main gauche en supination est au
dessus. La lame peut être soit en protection de la jambe avant soit pratiquement est parallèle à la
jambe droite.
 

Une variante en est la «Demie Herse».

Elle se prend depuis la garde précédente en mettant le pied droit en avant et le pied gauche en arrière.
Ce changement de pieds ne modifie en rien le placement de la lame. Celle-ci reste sur le côté droit en protection de la jambe.
 
 
 
 
 
 
 

La Fenestre senestre

La garde de la fenêtre senestre ferme la ligne du dessus et protège la tête et les épaules des coups de tranchant donnés par des brisés. Elle facilite les attaques par couronné revers.

 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est devant et placé perpendiculairement au pied droit.
Pour le buste, il est préférable de prendre une position à l’aplomb sans retrait car cela nuit à son efficacité en tant que parade.
La lame est au dessus de la tête pratiquement parallèle à la ligne des épaules. 
La pointe est dirigée à droite. Elle peut être légèrement plus basse que la main droite. 
Les bras sont fléchis et 
tirés vers la gauche afin de dégager complètement le visage.
 
 
 
 
 

La Fenestre dextre

La garde de la fenestre dextre comme la précédente ferme la ligne du dessus et protège la tête et les épaules des coups de

tranchant donnés par des attaques par brisés. Elle facilite les attaques par couronné avers.
 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est dirigé vers l’adversaire et le droit est pratiquement perpendiculaire au pied gauche.
Pour le buste, nous préférons une position à l’aplomb sans retrait, car cela nuirait à l’efficacité en tant que parade. La lame est au dessus de la tête pratiquement parallèle à la ligne des épaules.
La pointe est dirigée vers la gauche. Elle peut être légèrement plus basse que la main droite. Les bras sont fléchis et tirés vers la droite afin de dégager complètement le visage. 
Les avant-bras se croisent.
 
 
 

La garde de la Barrière

La garde de la barrière à dextre ou à senestre se prend aisément depuis celle de la fenestre dextre ou senestre. 

Il suffit pour cela de positionner la lame en oblique, la pointe vers le sol. 
Cette 
dernière pourra être légèrement dirigée vers l’avant.
 
Elle offre une protection pour le ventre et les jambes à senestre et pour le flanc et les
jambes à dextre.
 
 
 
 
 
 
 

La Queue du Renard

Cette garde favorise toutes les attaques par moulinets horizontaux, sans pour autant interdire les actions par moulinet verticaux. Cependant, elle ne permet pas aisément la prise de parades. Elle peut être réalisée à dextre comme à senestre, dans cette dernière, les avant-bras seront croisés.

 
Pour un droitier et à dextre, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est devant et dirigé vers l’adversaire. Le pied droit est pratiquementperpendiculaire au pied gauche.
Les bras sont tendus en arrière. La main droite est légèrement au dessous de la ceinture et la main gauche au dessus. Cette position des mains est dictée par l’utilisation des gantelets. En absence de gantelet, la position des mains pourra être plus haute. Cette garde est utilisée pour cacher son arme le plus longtemps à la vue de son adversaire et de retarder sa perception du départ de l’attaque.

 

La Garde de l’Ogresse

La garde de l’ogresse se prend avec le pied gauche en avant et le pied droit en arrière.

L’arme repose sur l’épaule droite la pointe dirigée vers le sol . L’avant-bras gauche est à hauteur du front afin de ne pas gêner la vision.
Cette garde peut servir de parade sur une action adverse qui se termine dans le dos mais aussi d’armement pour une attaque par brisé. Cette garde peut être prise à dextre comme à senestre, la position des avant-bras reste assez naturelle.
 
 
 
 
 
 
 
 

La Garde de Derisha

Cette garde est une variante de la précédente.

L’épée est sur l’épaule droite, mais la pointe dirigée vers la gauche. L’avant bras gauche est contre la poitrine afin de
dégager la vision.
Cette garde est une véritable provocation. Elle permet aussi des attaques avec une forte inertie par des couronnés à la figure. L’effet dévastateur lui a donné son nom hérité de la matronne de la Destruction.
Cette garde peut être prise à dextre comme senestre, la position des avant-bras reste naturelle.
 
 
 
 
 
 
 

La garde de Monidorm

Bien que plutôt versés dans le maniement de la hache, les nains maniant l’épée utilisaient cette garde téméraire dès l’antiquité. Les elfes lui donnèrent donc naturellement le nom de la divinité naine de la force brute.
Cette garde est aussi appelée garde haute ou la garde du toit. Elle prépare les attaques par brisés. Elle peut constituer une invite à un coup d’estoc qui sera paré par une attaque au fer réalisé par brisé dextre ou senestre.

Dans cette garde, la position des pieds n’est pas essentielle.
Les mains sont levées au dessus de la tête le plus haut possible. Cependant les bras restent fléchis.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

La garde longue

La garde longue permet de garder l’adversaire à grande distance en le menaçant le visage de la pointe de l’arme.

Cette garde est pratiquement identique à celle de la couronne pour la position générale du corps.
Seule la lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire. La pointe est à la hauteur des yeux. Les bras sont tendus vers l’avant. La main gauche empaume le pommeau.
 
 
 
 
 
 

La garde de l’encoignure

Cette garde d’estoc permet de maintenir à distance l’adversaire en le menaçant de la pointe à hauteur du cou. Cette garde est très utile lorsque vous êtes acculé dans un angle.

Dans sa position générale, cette garde diffère peu de la couronne, sauf dans la présentation de la lame et dans la position des mains.
Les bras sont plus ou moins fléchis de façon à ce que les mains soient relativement près du visage. La lame est alors orientée vers le visage de l’adversaire.
 

La garde du boeuf senestre

Cette garde permet de menacer le visage de l’adversaire de la pointe de l’arme. Elle est identique dans sa forme générale à la garde de la fenêtre senestre mais la lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire au niveau des yeux.

 
 
 
 

La garde du boeuf à dextre

Cette garde permet de menacer le visage de l’adversaire de la pointe de l’arme. Elle est identique, dans sa forme générale, à la garde de la fenêtre dextre, mais la lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire au niveau des yeux.

 
 
 
 
 
 
 

La garde des sables

La garde des sables est très répendue dans les zones désertiques du sud d’Otikan. Elle peut être prise à dextre ou senestre. À dextre, elle est assez proche de la garde courte de taille, sauf dans la direction de la lame qui est horizontale, la pointe menaçant l’adversaire.

Gardes pour l’épée à deux mains

Gardes pour l’épée à 2 mains

La Couronne

La garde de la couronne est appelée moyenne par certains auteurs. D’autres l’appellent : «la garde affrontée, car le combattant présente son front».

De toutes les gardes, elle est la plus naturelle et la moins fatigante. Elle permet la récupération après une passe d’armes longue.
Elle défend contre les coups de taille la figure senestre et le ventre ; par contre, elle ouvre le côté dextre et constitue une invite pour les cibles à dextre : la figure, le flanc, le bras et la jambe avant.
 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied droit est placé devant et dirigé vers l’adversaire. 
Le pied gauche est pratiquement 
perpendiculaire au pied droit.
Les bras sont fléchis de façon à ce que la main droite en supination soit au dessus de la ceinture et que la main gauche en pronation soit au dessous.
Vue de face, la pointe de l’arme sera légèrement en dedans. La lame est en diagonale.
Le défaut à éviter serait d’avoir la pointe de l’arme «dehors».
 
 
 
 
 

La Courte

La garde courte est parfois appelée «la garde adossée» car le dos est présenté à l’adversaire ou encore garde fermée.

Elle défend la figure dextre et le flanc. A l’inverse de la garde de la Couronne, elle laisse dégagé le côté senestre : figure senestre, vente et jambe avant.
 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est placé devant et dirigé vers l’adversaire. Le pied droit lui est perpendiculaire au pied gauche.
Les bras sont fléchis de façon à ce que la main droite en pronation soit au dessus de la ceinture et que la main gauche en supination soit au dessous. 
Du 
fait de la pronation de la droite, cette garde n’est pas ressentie comme naturelle.
La lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire. Vue de face, la pointe de l’arme sera légèrement en dedans. La lame sera en diagonale. La pointe est sensiblement à la hauteur des yeux .
Le défaut à éviter serait d’avoir la pointe de l’arme «dehors».

 

La Dent du sanglier

La garde du sanglier protège la jambe avant à senestre et laisse libre la jambe avant à dextre et les cibles hautes qui seront défendues par des actions d’interception appelées «Coup d’interception».

 
Pour un droitier, cette garde se prend de la façon suivante :
Le pied droit est devant et dirigé vers l’adversaire. 
Le pied gauche se place 
pratiquement à angle droit par rapport au pied droit.
La main droite est en supination et se place sous la ceinture. La main gauche est en pronation et se trouve au niveau de la ceinture.
La lame est dirigée vers le sol, elle peut le toucher éventuellement ce qui facilite la récupération.

 
 
 
 
 

La Herse du Nyras


La garde de la Herse du Nyras défend la jambe avant à 
dextre. Elle provoque des attaques adverses dirigées, soit vers les parties supérieures du corps, soit vers la jambe avant à senestre.
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est en avant et dirigé vers l’adversaire. 
Le pied droit est pratiquement 
perpendiculaire au pied gauche.
Cependant, la jambe droite reste légèrement en extension.
La main droite en pronation est au dessous de la ceinture et la main gauche en supination est au
dessus. La lame peut être soit en protection de la jambe avant soit pratiquement est parallèle à la
jambe droite.
 

Une variante en est la «Demie Herse».

Elle se prend depuis la garde précédente en mettant le pied droit en avant et le pied gauche en arrière.
Ce changement de pieds ne modifie en rien le placement de la lame. Celle-ci reste sur le côté droit en protection de la jambe.
 
 
 
 
 
 
 

La Fenestre senestre

La garde de la fenêtre senestre ferme la ligne du dessus et protège la tête et les épaules des coups de tranchant donnés par des brisés. Elle facilite les attaques par couronné revers.

 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est devant et placé perpendiculairement au pied droit.
Pour le buste, il est préférable de prendre une position à l’aplomb sans retrait car cela nuit à son efficacité en tant que parade.
La lame est au dessus de la tête pratiquement parallèle à la ligne des épaules. 
La pointe est dirigée à droite. Elle peut être légèrement plus basse que la main droite. 
Les bras sont fléchis et 
tirés vers la gauche afin de dégager complètement le visage.
 
 
 
 
 

La Fenestre dextre

La garde de la fenestre dextre comme la précédente ferme la ligne du dessus et protège la tête et les épaules des coups de

tranchant donnés par des attaques par brisés. Elle facilite les attaques par couronné avers.
 
Pour un droitier, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est dirigé vers l’adversaire et le droit est pratiquement perpendiculaire au pied gauche.
Pour le buste, nous préférons une position à l’aplomb sans retrait, car cela nuirait à l’efficacité en tant que parade. La lame est au dessus de la tête pratiquement parallèle à la ligne des épaules.
La pointe est dirigée vers la gauche. Elle peut être légèrement plus basse que la main droite. Les bras sont fléchis et tirés vers la droite afin de dégager complètement le visage. 
Les avant-bras se croisent.
 
 
 

La garde de la Barrière

La garde de la barrière à dextre ou à senestre se prend aisément depuis celle de la fenestre dextre ou senestre. 

Il suffit pour cela de positionner la lame en oblique, la pointe vers le sol. 
Cette 
dernière pourra être légèrement dirigée vers l’avant.
 
Elle offre une protection pour le ventre et les jambes à senestre et pour le flanc et les
jambes à dextre.
 
 
 
 
 
 
 

La Queue du Renard

Cette garde favorise toutes les attaques par moulinets horizontaux, sans pour autant interdire les actions par moulinet verticaux. Cependant, elle ne permet pas aisément la prise de parades. Elle peut être réalisée à dextre comme à senestre, dans cette dernière, les avant-bras seront croisés.

 
Pour un droitier et à dextre, cette garde se prend de la manière suivante :
Le pied gauche est devant et dirigé vers l’adversaire. Le pied droit est pratiquementperpendiculaire au pied gauche.
Les bras sont tendus en arrière. La main droite est légèrement au dessous de la ceinture et la main gauche au dessus. Cette position des mains est dictée par l’utilisation des gantelets. En absence de gantelet, la position des mains pourra être plus haute. Cette garde est utilisée pour cacher son arme le plus longtemps à la vue de son adversaire et de retarder sa perception du départ de l’attaque.

 

La Garde de l’Ogresse

La garde de l’ogresse se prend avec le pied gauche en avant et le pied droit en arrière.

L’arme repose sur l’épaule droite la pointe dirigée vers le sol . L’avant-bras gauche est à hauteur du front afin de ne pas gêner la vision.
Cette garde peut servir de parade sur une action adverse qui se termine dans le dos mais aussi d’armement pour une attaque par brisé. Cette garde peut être prise à dextre comme à senestre, la position des avant-bras reste assez naturelle.
 
 
 
 
 
 
 
 

La Garde de Derisha

Cette garde est une variante de la précédente.

L’épée est sur l’épaule droite, mais la pointe dirigée vers la gauche. L’avant bras gauche est contre la poitrine afin de
dégager la vision.
Cette garde est une véritable provocation. Elle permet aussi des attaques avec une forte inertie par des couronnés à la figure. L’effet dévastateur lui a donné son nom hérité de la matronne de la Destruction.
Cette garde peut être prise à dextre comme senestre, la position des avant-bras reste naturelle.
 
 
 
 
 
 
 

La garde de Monidorm

Bien que plutôt versés dans le maniement de la hache, les nains maniant l’épée utilisaient cette garde téméraire dès l’antiquité. Les elfes lui donnèrent donc naturellement le nom de la divinité naine de la force brute.
Cette garde est aussi appelée garde haute ou la garde du toit. Elle prépare les attaques par brisés. Elle peut constituer une invite à un coup d’estoc qui sera paré par une attaque au fer réalisé par brisé dextre ou senestre.

Dans cette garde, la position des pieds n’est pas essentielle.
Les mains sont levées au dessus de la tête le plus haut possible. Cependant les bras restent fléchis.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

La garde longue

La garde longue permet de garder l’adversaire à grande distance en le menaçant le visage de la pointe de l’arme.

Cette garde est pratiquement identique à celle de la couronne pour la position générale du corps.
Seule la lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire. La pointe est à la hauteur des yeux. Les bras sont tendus vers l’avant. La main gauche empaume le pommeau.
 
 
 
 
 
 

La garde de l’encoignure

Cette garde d’estoc permet de maintenir à distance l’adversaire en le menaçant de la pointe à hauteur du cou. Cette garde est très utile lorsque vous êtes acculé dans un angle.

Dans sa position générale, cette garde diffère peu de la couronne, sauf dans la présentation de la lame et dans la position des mains.
Les bras sont plus ou moins fléchis de façon à ce que les mains soient relativement près du visage. La lame est alors orientée vers le visage de l’adversaire.
 

La garde du boeuf senestre

Cette garde permet de menacer le visage de l’adversaire de la pointe de l’arme. Elle est identique dans sa forme générale à la garde de la fenêtre senestre mais la lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire au niveau des yeux.

 

La garde du boeuf à dextre

Cette garde permet de menacer le visage de l’adversaire de la pointe de l’arme. Elle est identique, dans sa forme générale, à la garde de la fenêtre dextre, mais la lame est présentée de façon à ce que la pointe (l’estoc) menace l’adversaire au niveau des yeux.

 
 
 
 
 
 
 

La garde des sables

La garde des sables est très répendue dans les zones désertiques du sud d’Otikan. Elle peut être prise à dextre ou senestre. À dextre, elle est assez proche de la garde courte de taille, sauf dans la direction de la lame qui est horizontale, la pointe menaçant l’adversaire.